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Bekijk Volledige Versie : Marokaans Ministerie meldt dat baden in zee hoogst riskant is



Ron Haleber
11-07-04, 22:43
Marokkaans Ministerie meldt dat baden hoogst riskant is in een aantal plaatsen (door mij in vet gezet). De hiegiene is ook beneden peil...

:fparty:

Volgens het Marokkaanse Ministerie (dus Schaap let goed op: niet volgens mij! ) zijn Marokkanen wel schoon binnenshuis, maar maken ze er buitenshuis een grote vieze troep van! Die ambtenaren liegen natuurlijk - ik ben het bij voorbaat met je eens!

Daarnaast is er gevaar voor hepatitis A - injectie nemen bij de GG&GD -ook dtp-prik.

Omdat Marokkanen de tweede taal van hun land wel kennen, ga ik niet vertalen.

Ik vind het artikel te belangrijk om het niet te plaatsen. Link er naartoe is niet mogelijk. En het staat natuurlijk nooit in buitenl. kranten... :gniffel:

Vgeld of NIS zouden het kunnen vertalen - maar die weigeren dat voor 'slecht nieuws'...Tegen de nationale Eer - dus tegen de maroc-versie van islam... Vandaar. :student:

Gezonde vacantie...! :romance: Ik wil ook alle gansjes hier weer gezond terug zien! :fplet:

bron: maroc-hebdo


L’état des plages marocaines selon le rapport du ministère de l’Equipement
Baignade à haut risque
Si la majorité des plages marocaines présentent « une qualité microbiologique conforme aux normes internationales », les plages déclarées non-conformes, soit 16,29 % du total, ne verront pas leur « clientèle » diminuer.

Amale Samie

http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_612/ph_612/plage.jpg

• Un bain de foule.



L’année scolaire a été éprouvante. Il y a quelques semaines seulement, on disait « cette année, le climat ne sait pas ce qu’il veut ». On marinait entre averses glacées et éclaircies torrides. Depuis la mi-juin, l’été est bien là et on a déjà un avant-goût des fours dans lesquels nous cuirons. La canicule assomme le pays, surtout l’intérieur, de 10 heures du matin à 18 heures. Où aller se rafraîchir? C’est aux plages de se présenter maintenant sous leur meilleur jour. Les baigneurs vont fuir l’enfer de Marrakech, Taza, Fès, pour aller installer leurs pénates sur la plage la plus proche.
La baignade dans certaines stations balnéaires très prisées se passera dans les meilleures conditions d’hygiène et de calme, sauf dans les campings, seules infrastructures accessibles à l’estivant populaire. Pour d’autres stations, le rapport publié par les ministères de l’Equipement et du Transport et le secrétariat d’Etat chargé de l’Environnement, le 22 juin 2004, est tombé comme un couperet. Salé et Rabat, Casablanca et Tanger, notamment, en ont fait les frais. Le rapport a été sans pitié pour ces villes dont les plages sont à éviter. Trop de staphylocoques, de tréponèmes fécaux et d’autres microbes destructeurs nagent avec vous. Les sources de pollution, ce sont les rejets domestiques et industriels, la vétusté et la gestion défaillante du réseau d’assainissement, l’insuffisance des stations d’épuration et les rejets des bateaux et embarcations dans les ports voisins ou qui vidangent tranquillement au large. On nage dedans, pour appeler les choses par leur nom.

Certitude

L’opération Kounouz Biladi, qui permet aux familles de se loger dans un hôtel de luxe à un prix abordable, ne concerne pas le commun des citoyens. Le touriste type est un touriste à petit budget. Comme on ne veut pas de lui dans les plages «cotées» ou à la mode, on lui abandonne généreusement quelques plages surpeuplées où il vaut mieux faire attention où l’on pose les pieds. Pour y accéder, il y a des lignes d’autobus surchargées qui font de longs trajets pour mener les estivants aux plages les plus proches.
Au moment où l’on semble reconnaître que les Marocains sont aussi des touristes, qu’a-t-on préparé pour recevoir les familles ? Cette année aussi, nous bronzerons étalés sur les épluchures de pastèque, les boîtes de sardines et les sacs en plastique. Avec un peu de chance, personne n’attrapera de méningite , personne ne sera foudroyé par une malencontreuse salmonelle égarée sur nos côtes.

Une certitude cependant : les commodités mises à la disposition des baigneurs seront infréquentables. Au Maroc, on a un problème insoluble avec les toilettes des lieux publics. Au cas où ce serait «culturel», on serait avisé de renier cette partie de notre culture:

les Marocains sont propres, leurs foyers sont propres, mais dès qu’ils sont dehors, ils ne se sentent plus tenus de rester propres. Le service qui pâtit le plus de cette spécificité culturelle c’est les toilettes. On en a pour 50 ans avant d’oublier ce bout de patrimoine et de se conformer à la conception universelle de l’hygiène.

Si la majorité des plages marocaines présentent «une qualité microbiologique conforme aux normes internationales», les plages déclarées non-conformes, soit 16,29 % du total, ne verront pas leur «clientèle» diminuer. Les plages conformes ne sont pas toujours des plages inoffensives. Les classes populaires vont aux plages les plus accessibles, quelle que soit la qualité de leur eau, qu’ils en sachent la conformité ou non.

Clientèle

Qui d’entre nous n’a pas été profondément blessé par un commentaire mérité sur la saleté chez nous. On n’est jamais heureux de voir son pays dilapider toutes ses chances de devenir et de rester hospitalier. L’hospitalité, ce n’est pas celle du thé offert aux touristes.
C’est le droit de se baigner dans une eau où les seules choses qui flottent sont les poissons. C’est de marcher sur le sable sans se taillader le pied sur un tesson de bouteille, c’est pouvoir aller aux commodités et à la douche sans vomir, sans faire la queue trois heures. Sur les 86 plages du Maroc qui ont fait l’objet d’un nombre suffisant de prélèvements «83,71 % d’entre elles sont de qualité microbiologique conforme aux exigences réglementaires pour la baignade». On va voir la jeunesse traverser Casablanca, de Sidi Moumen à Aïn Diab pour se rafraîchir. Avec quelques dirhams en poche, les jeunes vont passer la journée à taper sur un ballon entre deux plongeons. Personne n’attrapera de maladie fatale, les microbes, ça nous connaît, mais la plage n’est pas encore un concept assimilé par toute la chaîne des acteurs et des baigneurs. Alors on se dit qu’heureusement, on n’a dû compter sur personne pour apporter la mer et le sable si près de nos côtes.
Les plages montrées du doigt sont toutes dans le voisinage des grandes villes. Les plages déclarées non-conformes se situent près de Tanger, Larache, Casablanca, Rabat-Salé et Tétouan. Elles sont en tête des plages à éviter.

Ceux qui les évitent continueront de les éviter, les autres ne sont pas au courant ou décident d’oublier ce «détail», faute de quoi, ils seraient contraints de priver leurs enfants de l’été.
Ces plages déclarées non-conformes souffrent des rejets sauvages d’eaux usées ou d’une trop forte concentration de baigneurs dans un espace où les infrastructures d’hygiène la plus rudimentaire n’existent pas. Inutile de dire que le touriste candide qui imagine qu’une plage du tiers-monde est moins polluée qu’une ville industrielle européenne serait terrassé au spectacle de cette humanité qu’on entasse parce qu’elle ne rentre pas dans les projections financières et économiques officielles.

Hygiène

Reste maintenant que même les plages déclarées conformes ne sont pas obligatoirement propres comme on l’entend. Le rapport précise que 55,19% de ces plages présentent une qualité hygiénique de catégorie B, 28,52% de catégorie A. Il y a aussi 12,96% de plages classées dans la catégorie C et 3,33% dans la catégorie D.
Les eaux classées en catégorie A ou B sont conformes à la norme, celles qui sont classées en C ou D ne le sont pas. Pour qu’elles le redeviennent et pour que tout le monde puisse profiter du soleil et de la mer, il y a un long chemin à faire. Le rapport recommande ainsi d’activer «la mise en place des dispositifs d’assainissement nécessaires et adéquats, d’instaurer des mesures préventives d’ordre législatif et d’équiper les plages de commodités et d’infrastructures à même de permettre aux estivants de contribuer à leur propreté». Peut-être parviendrons-nous à faire notre révolution culturelle pour nous débarrasser de cette fatalité qui veut que les commodités soient un luxe superflu. Quant aux touristes étrangers, les citadins se chargeront aimablement de les dissuader d’aller mourir d’une septicémie en voulant barboter dans des flots répugnants.

Zwarte Schaap
11-07-04, 22:58
Marokaans Ministerie meldt dat baden hoogst riskant is in een aantal plaatsen (door mij in vet gezet). De hiegiene is ook beneden peil... Volgens het Marokkaanse ministerie (dus niet volgens mij!) zijn Marokkanen wel schoon binnenshuis, maar maken ze er buitenshuis een grote vieze troep van! Ach gossie onze ronnieboy wil de marokkaantjes pesten door door te geven dat hun overheid ze viespeuken vindt.

Die domme ronnieboy, het zijn niet de burgers maar juist de overheid die een steekje laat vallen. Gewoon de industrie dwingen hun afvalwater te zuiveren alvorens het te lozen. Verder is het een taak van de overheid om zorg te dragen voor de noodzakelijke waterzuivering van rioolwater.

Ron Haleber
11-07-04, 23:19
Geplaatst door Zwarte Schaap
Ach gossie onze ronnieboy wil de marokkaantjes pesten door door te geven dat hun overheid ze viespeuken vindt.

Die domme ronnieboy, het zijn niet de burgers maar juist de overheid die een steekje laat vallen. Gewoon de industrie dwingen hun afvalwater te zuiveren alvorens het te lozen. Verder is het een taak van de overheid om zorg te dragen voor de noodzakelijke waterzuivering van rioolwater.

Nou als je franzosiesj kan lezen, staat het er wel effe anders hoor! :fuckit2:

Maar voor de rest ben ik het met je eens... Maar breng ze dat maar eens aan hun verstand! Dan hoef ik in Tanger en Larache niet meer tussen de drollen te zwemmen... Overigens die arme mensen poepen gewoon in zee, rivier en overal elders, hoor - toilet is te duur of is er niet! :nijn:


Schaap, laten we samen dat land maar eens goed onder handen nemen! :duivel: